Mise en lumière des femmes artistes issues des collections de la Fondation Renaud
Des femmes artistes engagées ou s’intéressant simplement à des sujets de la vie quotidienne, chacune a une histoire à raconter. Parfois élève ou compagne de peintres reconnus à Lyon, elles n’ont pas eu la même reconnaissance que leurs « confrères ». Certaines ont même fait le choix de masculiniser leurs noms pour se faire une place dans le milieu artistique.
14 artistes féminines sont représentées dans le parcours.
Elles apportent chacune un éclairage autour de trois thématiques :
• la scène artistique lyonnaise : 6 peintresses présentes dans les collections de la Fondation ( dont Henriette Morel, Yvonne Récamier, Alice Gaillard...),
• la liberté créatrice ( Aline Gagnaire, Luc Maize, Thérèse Contestin, Louise Hornung),
• l’art comme révélation du réel ( Geneviève Böhmer ou Marie-Thérèse Bourrat, Eleni Pattakou).
« Il est important d’exposer ces œuvres pour éclairer leurs perceptions de la réalité sociale alors que, par le passé, nombre d’institutions culturelles ont trop souvent été rétives à leur offrir une place légitime. L’objectif n’est pas de proposer un discours uniquement féministe mais de montrer ce que les femmes ont apporté dans le développement de réflexions nouvelles, différentes sur l’art. En effet, ces créatrices sont nées dans une société où la place de la femme dans le milieu artistique n’était pas acquise. Ces femmes ont fondamentalement œuvré en faveur de l’émancipation du « Deuxième sexe » selon l’expression de Simone de Beauvoir. Souvent laissées dans l’indifférence, il s’agit aujourd’hui de leur rendre hommage. La Fondation Renaud possède des collections composées de nombreux artistes lyonnais ou ayant vécu à Lyon; et les femmes artistes y représentent une part importante.»
Stéphanie Rojas-Perrin et Raphaëlle Cadet, co-commissaires de l'exposition
Le statut des femmes artistes a fait l'objet d'un long combat
Au tournant du XXe siècle, les femmes devaient montrer une détermination plus forte que les hommes pour pouvoir entreprendre une carrière artistique, pour briser les tabous, les préjugés. Pour mieux comprendre leurs luttes contre toutes ces contraintes, la Fondation Renaud a choisi d’organiser l’exposition autour de trois grands axes qui représentent chacun un courant porteur.
14 artistes féminines sont représentées dans le parcours.
Elles apportent chacune un éclairage autour de trois thématiques :
• la scène artistique lyonnaise : 6 peintresses présentes dans les collections de la Fondation ( dont Henriette Morel, Yvonne Récamier, Alice Gaillard...),
• la liberté créatrice ( Aline Gagnaire, Luc Maize, Thérèse Contestin, Louise Hornung),
• l’art comme révélation du réel ( Geneviève Böhmer ou Marie-Thérèse Bourrat, Eleni Pattakou).
« Il est important d’exposer ces œuvres pour éclairer leurs perceptions de la réalité sociale alors que, par le passé, nombre d’institutions culturelles ont trop souvent été rétives à leur offrir une place légitime. L’objectif n’est pas de proposer un discours uniquement féministe mais de montrer ce que les femmes ont apporté dans le développement de réflexions nouvelles, différentes sur l’art. En effet, ces créatrices sont nées dans une société où la place de la femme dans le milieu artistique n’était pas acquise. Ces femmes ont fondamentalement œuvré en faveur de l’émancipation du « Deuxième sexe » selon l’expression de Simone de Beauvoir. Souvent laissées dans l’indifférence, il s’agit aujourd’hui de leur rendre hommage. La Fondation Renaud possède des collections composées de nombreux artistes lyonnais ou ayant vécu à Lyon; et les femmes artistes y représentent une part importante.»
Stéphanie Rojas-Perrin et Raphaëlle Cadet, co-commissaires de l'exposition
Le statut des femmes artistes a fait l'objet d'un long combat
Au tournant du XXe siècle, les femmes devaient montrer une détermination plus forte que les hommes pour pouvoir entreprendre une carrière artistique, pour briser les tabous, les préjugés. Pour mieux comprendre leurs luttes contre toutes ces contraintes, la Fondation Renaud a choisi d’organiser l’exposition autour de trois grands axes qui représentent chacun un courant porteur.